Le périple en ECHL de Sean Avery aura finalement duré… deux jours.
Le 23 février 2022, il a signé un contrat avec les Solar Bears d’Orlando et le 25 février 2022, il a été libéré.
We've released forward Sean Avery in our latest @pizzahut Transaction Report: https://t.co/kzIxN0J6PX
— x – Orlando Solar Bears (@OrlandoHockey) February 25, 2022
Ça n’aura pas duré longtemps finalement…
A-t-il eu peur de la déclaration de Georges Laraque? C’est possible. Est-ce qu’il y a vraiment quelqu’un qui voudrait se battre avec lui?
Laraque a dit qu’il n’allait pas se « garrocher » dessus s’il n’est pas consentant, mais si Avery voulait jeter les gants, l’ancien du CH l’aurait fait avec plaisir pour se venger des propos racistes à son égard. Avery ne s’est pas encore excusé à ce jour, d’ailleurs.
Qu’est-ce que ça veut dire pour le contrat d’un match de Laraque, cette nouvelle? Est-ce que c’est à l’eau? Hier aux ondes du 91.9 Sports, l’homme de 45 ans a affirmé qu’il ne voulait pas refaire carrière dans le hockey. Il aurait voulu faire son retour pour l’instant d’un match. Mais voilà qu’avec la libération d’Avery, ça change la donne…
Même chose pour Matthew Barnaby… Quoique son retour, je n’y crois pas depuis le début.
Pour Avery, il n’avait pas joué depuis la saison 2011-2012. Aux dernières nouvelles, il aurait voulu faire son retour dans le hockey pour que son fils le voie jouer.
Before the internet piles on Sean Avery for being released by ECHL Orlando, this article makes it pretty clear that Avery attempted a comeback so that his kid could see him play, and I totally would have cheered for that family moment. https://t.co/7rUdPaq8tn
— Andrew Zadarnowski (@AZadarski) February 25, 2022
Je suis loin d’être un grand fan du joueur, mais pour cette raison, je l’aurais supporté.
Pourquoi a-t-il été libéré, alors? Simplement, parce qu’après un entraînement avec Orlando, il s’ennuyait de son fils et il voulait rester avec lui.
Son fils, Nash Hollis, est né en 2020. Il n’a jamais pu voir les belles années de son père au début des années 2000, donc.
Voilà ce qui conclut officiellement la tentative de retour au jeu du mal aimé Sean Avery.