Shea Weber a un outil pour apprendre le français

Tout le monde est au courant que Shea Weber vit cette pandémie dans sa maison de Candiac avec sa famille, contrairement à Tomas Tatar et d’autres qui sont rentrés chez eux. Sans rien enlever aux autres, nous devons tout de même lever notre chapeau au capitaine, qui demeure dans la région de Montréal pendant le confinement et il en profite d’ailleurs afin de pratiquer la langue de Molière. Après cette quarantaine, il devrait se présenter devant les lentilles et lancer quelques nouveaux mots en français. Les journaleux adorent ça, ce genre de truc, soit celui d’un joueur du Canadien de Montréal qui apprend la langue primaire du Québec.

Shea Weber ne s’est pas confié à nous, mais plutôt à Josh Cooper (The Athletic) et l’ancien joueur Shane O’Brien. Les deux hommes tiennent un excellent podcast nommé Point Breakaway et c’est avec eux que le capitaine de cette chère Sainte-Flanelle a dialogué de plusieurs choses. Oui, il a été question de ses leçons de français via une application, mais également de son entraînement intense malgré cette quarantaine.

Cooper ne s’est d’ailleurs pas gêné afin d’indiquer que Weber était l’une des personnalités du monde du hockey des plus gentilles qu’il a rencontré. Weber est un brigadier très intimidant sur la patinoire. Tous ses adversaires le respectent et hésitent à passer de son côté lorsqu’ils se présentent en territoire du Canadien. Il impose le respect. Loin de la patinoire, il peut paraître «fâché», mais ce n’est que son visage puisqu’il demeure très gentil, généreux et respectueux.

Avant cette pause, Shea Weber affichait le compteur suivant : 36 points, dont 14 buts, en 65 rencontres. Son différentiel était de plus-8 et son temps moyen de 24 minutes. Ce que l’on retient, c’est son retour à la compétition après que des rumeurs indiquaient qu’il pourrait s’absenter le restant de la saison. SURPRISE. Weber est revenu le 18 février et il semblait dans une forme splendide.

Bref, merci capy de continuer de donner l’exemple aux siens et à cette jeunesse qui t’idolâtre.

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