S’il était Marc Bergevin, Yvon Pedneault hésiterait avant d’accepter un poste à Pittsburgh

Au cours des derniers jours, Marc Bergevin a étroitement été lié aux Penguins de Pittsburgh.

Par Georges Laraque d’abord et Elliotte Friedman plus tard.

Pittsburgh, qui n’a pas participé aux séries pour la première depuis plusieurs années, a congédié presque tout le monde.

Il devra trouver un remplaçant, donc. Est-ce que Bergevin est la solution aux problèmes? Il travaille présentement pour les Kings, mais un poste de DG pourrait l’intéresser.

Avant d’accepter un poste en Pennsylvanie, Yvon Pedneault y penserait bien, s’il était Marc Bergevin.

Pourquoi? Parce qu’en ce moment, c’est le festival des points d’interrogation à Pittsburgh. Le noyau vieillit, l’Est est meilleur que jamais et les Pens ne semblent plus assez compétitifs pour gagner une autre Coupe Stanley. Il y en a même certains qui pensent que Sidney Crosby devrait être échangé… Ah, et la banque d’espoirs n’est pas la meilleure non plus.

Mais est-ce que Mario Lemieux a encore assez de pouvoirs au sein de l’organisation pour embaucher son compatriote québécois? C’est l’une des questions que s’est posées Pedneault dans son segment.

Bref, si Bergevin avait de la misère à dormir à la fin de son séjour à Montréal, imaginez à Pittsburgh où l’équipe nage dans le néant présentement.

Mais s’il acceptait le poste, il ne serait pas dans une situation inconnue. En effet, lorsqu’il a pris le poste de DG à Montréal en 2012, l’équipe venait de terminer dans les bas-fonds du classement général après une participation à la finale de l’Est deux ans auparavant.

C’est vrai que Pittsburgh n’a pas connu une saison aussi horrible, mais on sait que l’organisation ne va pas bien et qu’elle va en pente descendante.

Est-ce que MB a ce qu’il faut dans le réservoir pour ramener l’équipe en séries? Parce qu’au final, les Penguins ne sont pas prêts de tout démolir et reconstruire, surtout avec le noyau en place.

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