Pendant une finale de la Coupe Stanley, les amateurs, qui continuent à suivre le hockey malgré l’absence du Canadien, finissent par se ranger d’un côté ou de l’autre. Cette finale actuelle, ce sont les Golden Knights qui ont le dessus sur la Caps de Washington. Il n’est pas question des résultats sur la surface glacée ici, mais bien du nombre de Québécois en rangée derrière l’une des deux équipes en finale.
Suis-je le seul de notre province qui encourage Alex Ovechkin et les siens?
Parmi les siens, il y a Lars Eller… qui devient une pièce importante du puzzle lorsqu’il joue en pleine possession de ses moyens. Outres Eller, Félix Séguin a rapporté toutes les autres belles histoires de cette équipe menée de mains de maître (Barry Trotz).
Les Capitals en 20 phrases : dans son récent BLOGUE, @fseguinhockey vous apprend un fait étonnant sur Tom Wilson, voire Devante Smith-Pelly. https://t.co/y0xpUh3eUB pic.twitter.com/3i9AYAlC6x
— TVA Sports (@TVASports) May 31, 2018
Hormis Eller, Devante Smith-Pelly est lui aussi un ancien du Canadien de Montréal qui se bat actuellement pour la Coupe Stanley. DSP, comme on le surnomme, avec 72 mises en échec depuis le début de cette valse, figure au quatrième rang de cette catégorie. Pas mal. À sa façon, lui aussi a trouvé le moyen de s’impliquer et de jouer son rôle de façon parfaite.
Parlons maintenant du mal-aimé de cette troupe, Tom Wilson. Le Québec apprend à détester l’un des joueurs les plus appréciés à Washington. Puis, savez-vous quoi? Son paternel est natif de Montréal puisqu’il a vu naissance dans la métropole… et le chalet familial des Wilson se retrouve en Estrie (Fitch Bay). Pour sa part, ce premier choix des Capitals en 2013 a vu le jour à Toronto… et il a 12 points en 18 matchs au compteur. Pas mal pour un matamore nouveau genre.
Personne ne changera d’avis au sujet de Wilson, mais ce petit brin d’histoire est toujours cool à partager.