Le sujet de la semaine dans la LNH, c’est sans aucun doute le dossier Tom Wilson. Après tout, cela a déboulé très rapidement et cela a fait jaser partout dans le monde du hockey.
Rappelons la séquence des événements.
- Tom Wilson a frappé deux gars déjà par terre.
- La LNH a donné une vulgaire amende au joueur des Capitals.
- Les Rangers ont publiquement affirmé qu’ils étaient insatisfaits du travail de George Parros, préfet de discipline.
- Les Rangers ont congédié leur président et leur DG pour des raisons « différentes » que celles du dossier Wilson.
- Les deux clubs ont réglé leur compte sur la glace.
- Les Rangers ont reçu une amende de 250 000$ pour leurs propos contre Parros.
- Pavel Buchnevich a été suspendu un match pour son double-échec contre Anthony Mantha.
Tom Wilson est surpris de l’ampleur des événements. Imaginez ne pas comprendre que nos actions ont des répercussions…
Tom Wilson on the Capitals-Rangers line brawl: ‘I would have never thought all this would have blown up’ https://t.co/r2ZUQVPLQJ
— RMNB (@rmnb) May 7, 2021
Sans blague, je comprends ce qu’il veut dire. Personne ne s’attendait à ce que ça bouge aussi vite… mais il faut avouer qu’il aurait dû y penser un peu avant de poser un tel geste.
Mais bon.
Alex Ovechkin, qui ne jouera d’ailleurs pas ce soir, a joué son rôle de capitaine et l’a aidé à entrer en contact avec son collègue russe.
Washington's Tom Wilson reached out to the Rangers' Artemi Panarin in the aftermath of the most talked about incident in hockey this week, and now he’s ready to move on from his latest controversy.
by @swhyno >> https://t.co/1BElRZtddp pic.twitter.com/T3CgQyWtuB
— AP Sports (@AP_Sports) May 7, 2021
Il affirme être heureux de savoir que l’une de ses victimes va mieux et que c’est ce qui importe présentement.
Peter Laviolette, entraîneur des Capitals, affirme qu’il a discuté avec son attaquant et qu’il lui a dit qu’il doit apprendre à jouer sur la ligne, mais sans la dépasser pour autant.
Est-ce que ce ne sont que des paroles en l’air? Bonne question. Après tout, il peut bien dire ce qu’il veut, mais recommencer plus tard.
La réponse d’ici quelques années, j’imagine.