Un fort lien de confiance existe entre Yannick Veilleux et le Rocket de Laval

Le Rocket de Laval est présentement au cœur d’une excitante course aux séries. Avec tous les jeunes espoirs qui évoluent du côté de Laval, il s’agit de deux bonnes raisons d’écouter les parties du club-école du CH – ou de les suivre, du moins.

Outre les noms habituels, il y a plusieurs joueurs qui sont au cœur de la belle saison du Rocket. L’un d’eux, c’est Yannick Veilleux.

Prenons en exemple le match d’hier. Il faut évidemment retenir le bon match de Jesperi Kotkaniemi, mais il ne faut pas oublier que Yannick Veilleux s’est inscrit deux fois à la marque aussi.

Comme vous le savez, le monde du sport est un monde où le niveau mental est primordial. Un joueur qui est dans un bon état d’esprit a de bien meilleures chances d’offrir de bonnes performances.

C’est présentement le cas de Veilleux. Le joueur produit bien, mais il ne l’a pas toujours eu facile cette saison. À vrai dire, il n’avait pas une place régulière dans l’alignement en raison de son statut de vétéran, ce qui forçait Joël Bouchard à le laisser dans les estrades.

Ce dernier lui a toutefois demandé d’être patient avant d’aller ailleurs – comme en Europe, par exemple – et cela a porté ses fruits.

Il faut toutefois dire que cela a été simple pour lui de savoir à quoi s’en tenir. Après tout, c’est lui qui a négocié son contrat d’essai et son contrat régulier avec le Rocket. Pourquoi? Parce qu’il n’a pas d’agent. Cela fait en sorte qu’il sait à quoi s’attendre.

Selon son coach, c’est un facteur qui peut expliquer son succès.

Notre relation a été honnête depuis le début. Il connaît mes attentes comme tous les autres joueurs. Je ne joue pas de game et c’est clair comme l’eau de roche ce que je m’attends des joueurs; une bonne attitude, des gars qui travaillent fort, qui poussent dans la bonne direction. Je pense que la façon qu’on approche avec le Rocket, ça fit pour lui. – Bouchard

Veilleux trouve qu’en travaillant ainsi, il construit sa relation sur de meilleures bases… et force est d’admettre que ça fonctionne pour lui.

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