En ce moment, les joueurs et le membre du personnel des Coyotes sont dans une période d’adaptation.
Ils sont arrivés à Salt Lake City plus tôt cette semaine, et ils peuvent enfin penser à la prochaine étape.
Les joueurs semblent être excités de ce qui s’en vient, d’ailleurs.
Le fait d’avoir été si bien accueillis par les nouveaux partisans à Salt Lake City, c’est sûr et certain que ça aide le moral.
Ça devait être difficile pour les joueurs d’évoluer dans un amphithéâtre de 5000 places, qui n’était d’ailleurs jamais plein…
Et là, de se faire sentir aimer de la sorte, ça doit être assez spécial.
Un joueur (dont on ne connaît pas l’identité) a dit à Frank Seravalli que le sentiment est plaisant, parce que les gars sentent qu’ils « sont de retour » dans la LNH :
C’est comme si nous étions de retour dans la LNH. – Un joueur anonyme
Whenever Gary Bettman’s reign as #NHL commissioner ends, moving the #Yotes to Utah might go down as his most savvy heist. Yes, that says something.
To be in Utah on Wednesday, to see it, to feel it, is to believe it. This is going to smash.
Here’s why: https://t.co/gdRkrtnNq6 pic.twitter.com/hDnynGKtSa
— Frank Seravalli (@frank_seravalli) April 26, 2024
Si l’excitation est à son comble du côté des joueurs, c’est tout le contraire qui se produit en ce moment pour les « anciens » partisans des Coyotes en Arizona.
Steve Peters, un employé de longue date des Coyotes, a tenu à faire une vidéo style « lettre ouverte » pour dire à quel point il est déçu de la tournure des événements…
Et dans ses paroles, on sent vraiment l’émotion qui entoure sa tristesse.
Ça vaut la peine, si vous avez un petit 10 minutes à tuer :
C’est sûr que la situation ne plaît pas à tout le monde…
Mais à la fin de la journée, la LNH a fait ce qu’elle avait à faire.
Elle devait mettre ses culottes et comprendre qu’en Arizona, c’était tout croche. Il était ridicule de voir une équipe professionnelle de si haut niveau évoluer dans un si petit aréna… Alors que le club n’était même pas capable d’attirer 5000 personnes à chaque match.
Le malheur des uns fait le bonheur des autres, comme on dit si bien. Non?