Soyons francs… Comment fera Carey Price pour réussir à traverser ces huit prochaines années, excluant celle-ci? Le cerbère numéro un du Canadien n’a jamais raffolé sur les médias. Il répond aux réponses de façon concise. Il n’est peut-être pas friand des entrevues, mais il est le Dieu du stade, donc il se doit d’accepter et de vivre avec son rôle.
Huit ans? Comment Price fera-t-il? | Le Journal de Montréal https://t.co/ofbJsY2DyZ
— Marc de Foy (@FoyMarc) December 19, 2017
Depuis son sourire, à la suite du match extérieur, tout ça a pris une autre proportion. On s’acharne sur lui puisque les propos qu’il a tenus étaient « particuliers ». Cependant, comme je le mentionnais plus tôt ce matin, les journalistes attachés au Canadien ne sont pas nécessairement coupables des rumeurs qui se promènent partout. Puis, avant cette situation de samedi dernier, Price, après avoir été hué par les partisans, s’est mis à les saluer timidement à la suite d’une victoire. Il boude un peu son public.
Mais… l’histoire qui l’a le plus outrée fut sans doute celle concernant un possible divorce entre sa conjointe et lui. Ça aussi, ça a fait les manchettes. Et selon Marc de Foy, ce ne sont pas les médias traditionnels les coupables, mais nous (les blogues?). Lisez bien entre les lignes de cette partie précise de son billet :
Une histoire qui n’émanait pas des médias… Ah oui? Mais ma jeune mémoire m’indique pourtant le contraire. Tout comme celle de mon collègue Max Truman.
C’est normal de ne pas apprécier que sa vie privée devienne connue de tous… mais ce n’est pas nécessairement la faute des blogues indépendants. Mario Temblay, c’est bien lui qui a parlé de la situation Galchenyuk? Réjean Tremblay, c’est bien lui qui a tenu à parler de la situation « privée » de Carey Price? Oui et oui. Comme je vous dis, c’est ce que m’indique ma mémoire.