Sur la patinoire, les Coyotes offrent un bon spectacle ces temps-ci. L’équipe est l’une des meilleures du circuit par les temps qui courtent, d’où son ascension au classement général.
Rappelez-vous qu’il n’y a pas si longtemps de cela, les Coyotes étaient derrière le CH au classement, mais les voilà avec quatre points d’avance et un point de pourcentage de chance de moins de repêcher Connor Bedard.
C’est plutôt leur situation hors glace qui fait jaser. Après tout, le club joue dans un amphithéâtre de moins de 5000 places et beaucoup (trop) d’autres scandales ont fait surface. Voilà qu’une autre information a fait surface.
Effectivement, l’un des propriétaires de l’équipe, Andrew Barroway, a été arrêté pour violence conjugale.
Barroway owns a 5% stake in the Coyotes.
Here are more details:https://t.co/KYvk9Wvv6T https://t.co/DL4ezKlkcZ
— Craig Morgan (@CraigSMorgan) March 24, 2023
Il a passé la nuit de jeudi à vendredi dans une prison de la région.
Barroway a payé une caution de 2500 $ après une audience virtuelle. Du p’tit change pour lui.
Selon les directives de la Cour, l’un des propriétaires des Coyotes n’a pas le droit d’être en contact avec sa femme, la présumé victime de l’histoire, sauf si les enfants sont concernés. En plus de l’accusation d’agression au second degré liée à l’étranglement, des accusations au troisième degré, un délit de classe 1, ont été déposées contre lui.
Pour l’instant, l’homme de 57 ans a été suspendu indéfiniment par la ligue jusqu’au dénouement de l’enquête.
Cette arrestation n’aidera certainement pas à améliorer la réputation de l’équipe. Déjà qu’elle est la risée de la ligue, elle n’avait pas besoin d’un scandale de la sorte.