Une disette qui a ramené Brendan Gallagher à la bonne case

Après une disette de huit rencontres sans marquer, Brendan Gallagher a enfin fait scintiller la lumière rouge hier, contre les Capitals de Washington. Souvenez-vous qu’en début de saison, il était sur un rythme de 61 buts… Une cadence qui devait être cassée un moment donné, et cet instant vient tout juste de se conclure. Avant cette petite léthargie, le petit Gallagher a inscrit neuf buts en 12 rencontres.

S’il s’alignait pour une campagne de 60 filets il y a neuf rencontres, aujourd’hui, cet après-midi, on parle d’un retour plus normal. Gally est sur un rythme de 39 buts, ce qui est pleinement logique pour un joueur qui en a totalisé 31 pendant une saison moche du Canadien de Montréal. Lors de certaines lectures, des auteurs suggéraient de séparer le trio composé de Tomas Tatar, Phillip Danault et Brendan Gallagher? Mais pourquoi? Pendant ce passage de huit rencontres, Gallagher a tout de même récolté un total de quatre mentions d’aide.

Ses coéquipiers, lors de ces huit matchs sans succès (buts) pour Gally, se sont tout de même imposés. Tomas Tatar a pris la relève du côté des buts avec un total de six entre le 3 et 17 novembre (inclusivement). Le joueur de centre de cette unité, Phil Danault, a distribué le disque et il a obtenu un total de quatre passes. Sans omettre qu’il est utilisé à outrance pour des missions défensives, entre autres. Bref, ce trio roulait tout de même avec une chimie bien palpable.

Toute cette petite «étude» bien simple nous mène à une seule conclusion logique : pendant que Gallagher peinait à rentrer les rondelles dans le filet, c’est Tomas Tatar qui a pris le relais, ce qui démontre pleinement l’étoffe de ce trio. Le minuscule numéro 11 continuait de travailler d’arrache-pied et de passer le puck à ses coéquipiers. Bref, tout ça pour le ramener à une cadence de buts plus logique.

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