Quand j’ai vu cette nouvelle-là passer dans mon feed hier, je me suis passé toutes sortes de remarques à l’intérieur. Mais en gros, ça a pas de maudit bon sens les résume pas mal toutes.
De quelle nouvelle est-ce que je parle? De celle-ci :
Not in my backyard! A Nepean family has to take down their homemade rink because a neighbour complained to the city saying it’s an eyesore @ctvottawa pic.twitter.com/XU1l9aiCUl
— Mike Arsalides (@MArsalidesCTV) December 16, 2018
Une famille de Nepean, une ville ontarienne fusionnée à Ottawa en 2001, a dû détruire sa patinoire maison à cause d’une plainte d’une voisine… Qui trouvait que ça enlaidissait le quartier…
Que c’était de la pollution visuelle.
Triste reportage…
On voit de nombreux enfants qui s’amusent… Qui ne font pas de niaiseries, comme dirait ma mère…
Mais la famille devra démolir sa patinoire. Réglementation de la Ville oblige, semble-t-il…
Les bandes de la patinoire devront être enlevées aujourd’hui, sinon la famille pourrait recevoir une amende.
Sincèrement, il faut être malheureux en tabarouette pour priver ces enfants de s’amuser… Sous prétexte que ça ne fait pas beau au niveau urbanisme.
Je veux bien croire que la liberté des uns s’arrête là où celle des autres commence… Mais cette patinoire brimait-elle vraiment la liberté de cette voisine? Si la réponse est oui, à quel point? À quel niveau?
Ça fait cinq ans que la famille Cosgrove (qui a trois filles) construit une patinoire sur son terrain, mais c’est la première fois qu’il y pose des bandes.
Dommage, car les enfants n’auront pas leur patinoire pour les vacances de Noël et ils iront probablement jouer à la tablette ou à la PS4 à la place…
Que la Ville ait un certain règlement, je veux bien croire…
Mais qu’une voisine se plaigne de ça, c’est triste. Très triste. J’espère qu’elle n’est pas une maman… Car je plains ses enfants si c’est le cas.
Qualifier une patinoire d’horreur pour les yeux (c’est ce qu’elle a fait), c’est intense…
Au moins, le maire a promis de s’en mêler personnellement.
Plus de détails sur cette histoire ICI.