Le Canadien nous a allumés pendant au moins 55 matchs avant de connaître une baisse de régime flagrante à la suite de la date butoir. Marc Bergevin n’a peut-être pas donné des éléments de calibre à son entraîneur-chef, mais d’un autre côté, le groupe de coachs en place a-t-il trouvé une solution pour réveiller un avantage numérique somnolent depuis le premier jour? L’équipe devra se réveiller et jouer avec le sentiment d’urgence parce qu’elle n’accédera pas au niveau supérieur (les séries).
Andrew Shaw was frustrated and frank in his assessment of what he saw as the #habs lack of urgency last night. Today, when asked why there hasn’t been enough urgency, he responded: “I can’t tell you why it’s not there but I can tell you it’s going to be there”.
— Dan Robertson (@DanRTSN) March 15, 2019
Puisqu’il est question d’Andrew Shaw, comment ne pas dire que c’est un «vrai».
https://twitter.com/elitvasports/status/1106601547084062722
Cela dit, revenons à l’attaque massive anémique… qui est en train de marquer l’histoire et le récit du Canadien de Montréal. Saviez-vous que le taux de réussite actuel du Tricolore (12.1%) est le pire enregistré depuis que les statistiques à ce niveau son enregistré par la Ligue nationale (1977-1978)? Lors de la campagne 2002-2003, le taux affiché était de 14%, qui était la pire statistique avant cette année.
Le pire avantage numérique de l’histoire des #Habs 😨 : https://t.co/7c1WHaWj6O pic.twitter.com/b9iHV1B7PW
— TVA Sports (@TVASports) 15 mars 2019
Néanmoins, le bleu-blanc-rouge ne figure pas au dernier rang dans l’histoire, lui qui arrive au 16e échelon. Pour le moment, il ne figure pas parmi les 10 pires, mais ça pourrait venir rapidement. Au premier rang des pires taux d’efficacité en avantage numérique on retrouve le Lightning de Tampa Bay de l’édition 1997-1998 (9.3%). Le Wild arrive au second rang avec un taux de 9.6% réalisé en 2000-2001.
À qui la faute, sur celle-là? Kirk Muller? Claude Julien? Marc Bergevin? Les joueurs?