Une preuve que les joueurs de la LNH font pitié

L’argent, le cash, les contrats de fou qu’octroient les directeurs généraux aux joueurs de hockey, c’est une tendance qui n’échappe pas aux yeux des amateurs. Chaque fois qu’un hockeyeur touche le gros lot, nous, les partisans de salon, nous mettons immédiatement à critiquer et à nous lever contre cette signature. Soyez francs. Comment trouvez-vous le futur contrat (84 millions de dollars pour huit ans) de Carey Price qui se mettra en branle dès l’an prochain?

De gros contrats, il y en a à la tonne. Patrick Kane, Jonathan Toews, Jamie Benn, Anze Kopitar, Shea Weber, P.K. Subban et Alex Ovechkin empocheront tous plus de 10 millions de dollars lors de la campagne 2017-18. Ce sont de gros chiffres sur papier. Qui ne rêverait pas de remplir son rapport d’impôt avec autant de chiffres dessus? Oui, c’est ça!

Sauf que, comme nous, ces riches de la LNH doivent payer des impôts, des taxes fédérales, les fonds de solidarité… et les agents qui s’occupent de négocier les contrats pour eux. Plusieurs millions sont donc jetés aux oubliettes et le joueur en question ne touche pas réellement le salaire affiché sur Cap Friendly. Voici quelques exemples une fois que tout ça est payé :

Il reste 5.57 millions de dollars à Patrick Kane… sur 13 millions « bruts ». Même chose pour Jonathan Toews, qui évolue dans le même État. Dans le cas d’Anze Kopitar, il ne lui reste que 3.92 millions de ses 13 millions…

Je sais, ils ne sont pas à plaindre… mais quand même!

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