Bon. Ne partons pas en peur. On aura beau parler de brasser les cartes, il y a tout de même des limites à toute chose. Il faut toujours conserver une certaine coordination (chimie) entre nos joueurs. En échangeant Vladimir Tarasenko, les Blues de St-Louis perdraient probablement quelques cartes au vent et briseraient de précieuses combinaisons.
Par contre, Elliotte Friedman évoque cette possibilité. Lorsqu’il le fait, j’ai tendance à écouter.
Pendant que Doug Armstrong mène encore une recherche intensive pour trouver le nouvel entraîneur de son équipe, les rumeurs de transaction continuent de planer. Apparemment que le problème ne se situait pas seulement au niveau du message de l’entraîneur, qui ne passait plus.
Friedman mentionne que le nom de Tarasenko, bien qu’il ne lui ait jamais été mentionné de façon officielle (‘on record’ pour un journaliste), demeure source de questionnement. Certains observateurs dans l’entourage des Blues jugent que l’organisation n’a pas toujours été satisfaite de sa vedette, depuis la signature de son contrat massif.
Il avoue toutefois qu’il serait TRÈS difficile de gagner une transaction l’impliquant, vu son talent. Par contre, ce n’est pas impossible.
Il serait sans aucun doute l’un des meilleurs joueurs à être échangé au courant des années 2000.