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Vlasic se plaint (encore) de son temps de jeu : « Il faudrait demander au coach »

Marc-Édouard Vlasic ne joue plus autant qu’auparavant.

Il a disputé seulement 57 matchs lors de la dernière saison parce qu’il a été laissé de côté à plusieurs reprises.

Le vétéran a manqué le début de la saison 24-25 en raison d’une blessure au dos… Mais même s’il est en santé depuis un certain temps, il ne joue pas tous les soirs.

Le Québécois est en santé depuis le 1er janvier, mais il n’a participé qu’à huit rencontres depuis son retour au jeu.

Et ça ne fait pas son affaire.

Questionné au sujet de son utilisation dans le cadre de la visite des Sharks à Montréal (ils seront au Centre Bell demain soir), Vlasic a répondu que seul son entraîneur avait la réponse.

Quand j’ai joué les sept games que j’ai jouées, j’ai bien joué. Évidemment, on est en reconstruction et je comprends la décision… Mais il faudrait demander au coach. – Marc-Édouard Vlasic

Ça se ressent dans son ton de voix qu’il n’est pas super content : 

 

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Au début du mois de février, Vlasic a dit en direct à l’émission de JiC (TVA Sports) que les Sharks ne sont pas bons cette année.

Je me demande vraiment si ça a joué un rôle dans les récentes décisions de Ryan Warsofsky… 

Mais sur la patinoire, on parle d’un gars qui a considérablement ralenti aussi.

Vlasic – qui a 37 ans – ne produit plus offensivement et il n’aide plus autant son équipe au niveau défensif. C’est plate dans un sens parce que les Sharks sont « pognés » avec son contrat de 7 M$ par année qui se termine à l’été 2026…

Rappelons que ce n’est pas la première fois où on voit Vlasic se plaindre de son utilisation directement dans les médias.

Il s’était réjoui du départ de David Quinn l’été dernier parce que selon lui, il a été laissé de côté lors de la dernière saison alors qu’il ne le méritait pas.

Mais à un certain point, les problèmes du joueur sont au niveau de ses performances.

Parce qu’il n’y a aucun club de la LNH qui se priverait d’utiliser un défenseur qui peut aider sur la glace… Et elle est là, l’ironie dans l’histoire.

En rafale

– Bon point.

– On aime ça le hockey au Canada !

– Un résultat (assez) ordinaire pour Lance Stroll…

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