On parle énormément de la possibilité de voir une division canadienne être imposée aux équipes du pays. Et dans l’optique où Gary Bettman ne va pas déménager sept clubs pour un an et que les frontières sont fermées, c’est normal.
On s’y habitue, on l’analyse, on y pense beaucoup. Mais dans les faits, est-ce que les joueurs aimeront cela?
Il y a deux écoles de pensée. Il y a ceux qui disent que les gars n’aimeront pas être pris au pays tout le temps, que ce ne sera pas excitant de jouer seulement contre six clubs, etc.
Et il y a ceux qui, comme Brendan Gallagher l’a affirmé à TSN, croient qu’un sentiment de fierté émanera de cette division.
C’est bien d’aller voir ces clubs-là [qu’ils voient moins] et d’avoir de l’appréciation pour ce qu’ils font. En même temps, il y aura un peu de fierté à l’idée de jouer dans une division canadienne.
Je crois qu’il y aura une motivation de plus. – Brendan Gallagher
N’oubliez pas que les gouverneurs se rencontraient aujourd’hui pou discuter du plan qui comprend une division canadienne.
À la lumière des propos de Gary Bettman, ça sent de plus en plus le retour du hockey → https://t.co/tiYBXgeKBL
— DansLesCoulisses (@DLCoulisses) November 10, 2020
Il est vrai que c’est un peu (un peu, j’ai dit) comme se battre – au niveau hockey – pour l’honneur de son pays. Les joueurs veulent faire de leur pays le meilleur lors des compétitions internationales et il y a de la fierté là-dedans.
Rappelons que les joueurs principaux de la Flanelle à chaque position (Carey Price, Shea Weber et Gally) viennent justement de l’Ouest. Voilà une motivation supplémentaire, non?
Est-ce que seuls les joueurs d’ici auront une motivation de plus? Est-ce que le simple retour du hockey crinquera les gars? Ça reste à voir.