Hier, les Canadiens étaient appelés aux urnes afin d’aller voter. Et comme nous l’avons vu, Justin Trudeau est encore le premier ministre du Canada et les autres partis sont environ là où ils étaient avant le déclenchement des élections.
Maxime Bernier a quant à lui été défait en Beauce et n’a (heureusement) pas vu aucun député obtenir gain de cause, mais il s’est quand même réjoui de voir qu’environ 5 % des électeurs avaient choisi de voter pour lui.
Pourquoi? Parce que plusieurs personnes adhèrent à sa philosophie en lien avec la gestion de la pandémie. Il a donc récolté ici et là quelques votes partout au pays, mais ce n’était pas assez concentré pour faire élire un/une député dans un comté donné.
Et de ses fans qui sont en accord avec sa philosophie, on compte Zac Rinaldo. Le membre des Blue Jackets de Columbus a ouvertement appuyé le chef du PPC au cours des derniers jours… et, par la bande, ça lui a coûté cher.
Cela concorde avec le moment où le joueur s’est « associé » avec Maxime Bernier.
Zac Rinaldo a récemment appuyé le parti de Maxime Bernier, en raison de son opposition à la vaccination obligatoire. https://t.co/Rw48fCkHU6
— Alexandre Pratt (@alexandrepratt) September 21, 2021
Dans les faits, de supporter Bernier n’a pas forcé sa suspension. C’est le fait d’adhérer à ses politiques sur le vaccin (non, Rinaldo n’est pas vacciné) qui lui a coûté cher.
Parce qu’il n’est pas vacciné, il se voit donc refuser l’accès du vestiaire des Blue Jackets – mais pas celui des Monsters, le club de la LAH de Columbus. Il ne sera donc pas au camp du club de la LNH en raison de sa décision, mais sera payé quand même.
Rinaldo ne doit pas être étonné de recevoir un pareil traitement puisque Sylvain Lefebvre, qui était dans le coaching staff de l’organisation de Columbus, a perdu son emploi après avoir refusé de prendre le vaccin.
Il n’avait qu’à se faire vacciner. Tout simplement.